BENGALE - Vitrine

Référence : STAR-0028
Dimensions : L72 x P40 x H186 cm

Dans leurs chics galeries les plus beaux hôtels y placent les bijoux confiés à la vente par les maisons de prestige. Dans un cadre plus intime cette vitrine mettra en valeur vos précieuses possessions et doublera leur nombre grâce à son miroir arrière.

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3 741,67 €
Livraison sous 5 à 15 jours ouvrés.

Fabrication sur mesure

Matériaux premium

Assemblage traditionnel

Finitions d'exception

Caractéristiques

  • Quatre portes
  • Un tiroir
  • Quatre niveaux d'exposition dont deux étagères réglables en verre
  • Eclairage basse tension intégré
  • Miroir en fond

Finitions

  • Essences de bois : prunus avium (merisier), Entandrophragma cylindricum (sapelli), Entandrophragma utile (sipo), Juglans nigra (noyer noir d'Amérique)
  • Vernissage finition bois de rose
  • Quincaillerie en laiton : charnières
  • Portes en verre trempé
  • Logo Starbay et poignées bouton en os gravé puis encré

Informations techniques

  • Meuble livré monté
  • Colis : L82 x P50 x H195 cm

Conseils d'entretien

  • Dépoussiérer avec un chiffon anti-statique ou légèrement humide
  • Ne pas cirer pour ne pas risquer d'encrasser le vernis
  • Éviter tout produit de nettoyage potentiellement abrasif pour le vernis
  • Toujours protéger les surfaces avant de déposer liquide ou chaleur
  • Nourrir le cuir avec du lait hydratant pour bébé

Carnet de voyage

Extrait de « Analyse des papiers anglais du 27 mai au 1er Juin 1788» , Edité le 1788-05-27 par Lejay Fils (Paris)

Débats parlementaires

Budget, ou état des finances des établissements Britanniques dans l’Inde.

Il n’est pas de ressource, on pourrait dire d’artifice, que n’emploie le Gouvernement Britannique pour peindre la situation de ses finances sous les couleurs les plus favorables, mais la nécessité de les exposer au grand jour, et par là aux observations plus ou moins fondées de ceux qui n’ont aucune raison de flatter le ministère, est une circonstance heureuse qui donne la facilité d’apprécier la vérité et de la dégager d’un coloris brillant qui ne sert qu’à éblouir et à tromper.

Si le Budget Britannique n’est rien moins que satisfaisant pour la Nation, celui que M.Dundas a ouvert le 24 Avril sur les finances de l’Inde, est encore plus alarmant.

Qui aurait pensé, qu’indépendamment des revenus de l’Etat, il se trouverait en Europe une Nation, dont quelques individus réunis auraient un revenu qui surpasse celui de la plupart des premières Puissances de l’Univers ? Qui surtout eût jamais pensé qu’avec une recette de sept millions 154,202 livres sterling, faisant environ 170 millions tournois, une Société de Marchands ne pourrait fournir à la dépense qu’exigeaient les établissement qu’elle possède, et qu’elle serait réduite à la nécessité de contracter des dettes ?

M.Dundas prétend qu’il y a cependant un excédent, au lieu d’un déficit.

La Chambre s’étant formée en comité général sur les affaires de l’Inde, M.Dundas entra dans le sujet qu’il avait annoncé. Enfin, dit-il, le nuage qui avait obscurci l’horizon Britannique commence à se dissiper (…). Le premier objet vers lequel la Chambre doit tourner son attention, sont les revenus du Bengale. Depuis le premier Mai 1787, jusqu’au 30 Avril 1788, ils montaient, d’après les états exposés sur table, à 506,48,906 roupies, formant en monnaie d’Angleterre trois millions 449,520 livres sterling. Ainsi les affaires de la Compagnie (la Compagnie des Indes orientales) étaient florissantes dans le Bengale. Cependant ce revenu n’était pas absolument libre, et l’entretien du Civil, du Militaire, de la Marine, les constructions et fortifications, la perception des impôts, exigent des dépenses, mais ces charges ne montaient qu’à 30662401 roupies ce qui donne un produit net de deux millions 248,682 livres sterling. (…)

Peut-être objecterait-on que la Présidence du Bengale coutait annuellement 300,000 livres sterling. Mais il ne fallait pas perdre de vue que c’était aussi un Gouvernement très étendu, et que si les dépenses qu’on y faisait étaient encore augmentées par les deux nouveaux Régiments qui devaient y être stationnés, c’est que la sureté des établissement Britanniques dans l’Inde dépendait beaucoup de celle du Bengale. On devait faire attention à falloir tenir en respect les Marates et les Myforiens, qui autrement céderaient aisément à la tentation d’envahir Carnatic et de mettre à la fois en danger les possessions de Madras et du Bengale.

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